Agressivité, non respect des valeurs de l’entreprise, absence de réflexion, manque de ponctualité et bien d’autres, nombreux sont les comportements perturbateurs pour une entreprise. La responsabilité de la hiérarchie est importante pour tous les événements qui s’y déroulent même s’il n’existe pas de solution toute faite.
Déceler la personnalité du collaborateur
Que ce soit avant la décision de collaboration ou durant les périodes de travail, tout est sous la responsabilité de la hiérarchie.
Déceler les défauts d’un collaborateur lors d’un entretien n’est pas toujours facile car il a la possibilité de bien les cacher. On se retrouve alors avec une personne difficile dont le comportement affecte l’équipe et pourrait affecter l’évolution de l’entreprise.
Dans tous les cas et dans n’importe quelle entreprise, quel que soit le secteur, la gestion des cas difficiles revient au manager. C’est à lui de chercher les causes de cette attitude sans se focaliser sur le contexte négatif renvoyé par le comportement du collaborateur. Il faut savoir clairement si l’attitude du collaborateur vient de lui-même, si c’est un trait de sa personnalité ou un souci temporaire comme un problème personnel ou un conflit familial. Il se pourrait aussi que vous le jugiez selon votre ressenti.
Savoir si le collaborateur est difficile ou en difficulté est important. Cependant, si vous découvrez qu’il advienne de votre ressenti, il vous faut appliquer un coaching de management pour vous même ou demander une aide extérieure.
Définir la meilleure stratégie
Laisser faire n’est pas la bonne attitude à adopter en retour même si la raison est que la personne soit compétente et apporte son expertise.
Cela dépend de l’entreprise, si certains comportements sont tolérés chez une entreprise, ils peuvent être rejetés par d’autres. Adoptez une stratégie constructive, si l’entreprise pense que le collaborateur peut changer d’attitude, elle doit l’aider à s’améliorer à condition que le collaborateur est demandeur.
Toutefois, il ne faut pas lui imposer votre initiative même si c’est de bonne volonté. Le manager pourrait alors adopter une technique qui pourrait habiliter un enchaînement d’actions positives afin de contrôler ses attitudes et surmonter ses problèmes.
Aider le collaborateur ou s’en séparer
Lorsque le collaborateur incriminé continue de franchir la ligne rouge malgré le coaching, cela peut nuire au rendement de l’équipe et par conséquent de l’entreprise. La responsabilité repose sur la hiérarchie de garder ou de se séparer d’un collaborateur pour le bon fonctionnement de l’entreprise.
Remarques